Georges Descombes, en charge du paysage à l’Institut d’architecture, paysagiste au travail rigoureux et déterminé, se moque amicalement de nous : « Vous, les Français, avez théorisé l’impuissance. »
En effet, à lui seul, le jeu avec les traces ne répond pas aux besoins et enjeux contemporains.
L’historien de l’architecture et de l’urbanisme André Corboz nous convainc qu’il s’agit peut-être d’un cycle de conservation en opposition à des phases d’invention. Je mesure le risque de l’enterrement académique dans la fascination pour les traces, avec doute et sans réel renoncement.