Si, en France, les fronts de ville ou de nature, qui constituent des « lisières », ne font l’objet d’aucune attention, à l’étranger certains exemples peuvent nous éclairer. Reconsidérer la lisière de la ville – qui, déployée, constitue un linéaire considérable – en posant la question de la mutation agricole est une manière de redonner vie à la ville, et ce au niveau national. Ces possibles relations fines entre deux milieux sont des sources d’inspiration prometteuses. Ce milieu doit à la fois faire appel aux pratiques et aux techniques empruntées au monde de l’agriculture, et pallier aux déficits de la périphérie urbaine.
AMELIORER LE CONTACT VILLE / CAMPAGNE
GRAND PRIX D'URBANISME 2011