La requalification de la place Lulli et de la rue Sainte, entre les rues Paradis et Breteuil, fait donc figure pour l’instant de point final à l’opération de requalification du centre-ville. Le revêtement a été repris pour être harmonisé avec les autres espaces rénovés depuis quatre ans : des pavés calcaires pour les zones piétonnes et des pavés porphyres (roche volcanique) pour la chaussée.

De nouveaux arbres ont été plantés sur la place. Ils viennent compléter le premier alignement déjà présent.

Le bas de la Canebière, les abords du Centre-Bourse, une partie du quartier Hôtel-de-Ville et quelques rues à Noailles ont également été transformés dans le cadre de cette opération confiée au paysagiste Michel Desvigne, à l’agence Tangram Architectes et à la société Ingérop Conseil et Ingénierie.

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The new building of the Albert Kahn Museum in Paris, designed by Kengo Kuma, his design team, and landscape architect Michel Desvigne Paysagiste is fully inspired by Albert Kahn’s deep connection and love with Japan.

“The dream of Albert Kahn of blending the garden and display space was achieved by blending the environment and architecture,” says Kengo Kuma.

Establishing a dialogue between the building and the garden through an element borrowed from traditional Japanese architecture: the engawa, a borderland between inside and outside.

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Des parkings transformés

(...)La raison : l’arrivée prochaine de ville-jardin, ce concept porté par le paysagiste Michel Desvignes, devenu mantra de la municipalité. La promesse : la végétalisation du cœur de ville, avec la plantation de 200 arbres supplémentaires et notamment la transformation du parc du Marché en square. « Le long des magasins et restaurants, on va élargir les trottoirs pour pouvoir installer des terrasses ». De l’autre côté du boulevard, la place des Martyrs restera un parking, mais reverdi.

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Un projet moins dense, moins haut et plus vert pour la partie centrale de l’Ile Seguin

Dans la foulée de l’accord survenu début février, un protocole devrait être prochainement signé entre Bouygues Immobilier, les six associations opposées à son projet de bureaux sur la partie centrale de l’île Seguin et l’aménageur des anciens terrains Renault. L’ensemble immobilier conçu par BIG perd 18 000 m2 tandis que le jardin public dessiné par Michel Desvigne gagne deux hectares.

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